La revue XVIIe siècle est née peu après la création de la Société d’Étude du XVIIe siècle, dont elle dépend : le premier numéro a paru en 1949, et la publication s’est depuis poursuivie sans interruption, au rythme de 4 livraisons par an.
Ordonnée à mieux faire connaître le XVIIe siècle dans son ensemble, et notamment dans les domaines artistique, historique, juridique, littéraire, philosophique, scientifique et spirituel, elle est pluridisciplinaire par vocation. Elle accueille à cette fin des contributions de chercheurs et d’amateurs érudits, français aussi bien qu’étrangers, publiées après soumission à sa commission de publication. Les livraisons de varia alternent avec les numéros thématiques, élaborés sous la responsabilité d’une autorité scientifique reconnue. Chaque numéro de la revue assure, de surcroît, la recension d’ouvrages récemment parus sur le XVIIe siècle (environ 130 recensions par an).
Les ouvrages peuvent être envoyés en service de presse pour recension à l’adresse suivante :
Revue XVIIe siècle, service des recensions
Occident Moderne
Université Paris-Sorbonne
1 rue Victor Cousin
75005 PARIS
En 2015, le Président Jean-Marie Constant a passé un accord avec la Bibliothèque Nationale de France en vue de la numérisation des anciennes collections*, qui a été réalisée au cours de l’année 2016. Les numéros les plus récents (parus à partir de 2000) sont accessibles sur le portail Cairn. La revue est éditée par les Presses Universitaires de France, qui assurent la distribution des numéros imprimés.
Les abonnements se font uniquement par voie postale, en utilisant le formulaire disponible sur le présent site (et également inséré dans les pages de la revue).
* Ce travail de numérisation n’a été envisageable que grâce à la générosité de notre collègue Catherine Fromilhague, qui a fait don à l’équipe RARE (« Rhétorique de l’Antiquité à la Révolution », Univ. Grenoble-Alpes) de la collection de son père, spécialiste de Malherbe bien connu. Ce Fonds René Fromilhague comporte notamment les premiers numéros de la série, devenus introuvables. La Société d’Étude du XVIIe siècle lui adresse ses remerciements les plus chaleureux.